dimanche 8 janvier 2012

New York


4 jours incroyables.
La ville est étourdissante.
Les aiguilles de la montre y tournent 2 fois plus vite qu'ailleurs, simultanément et proportionnellement au vidage du porte-monnaie...

Pourquoi NY est-elle si géniale ?
Ma théorie c'est que comme dans toute grande ville, on y trouve tout ou quasiment.
Et notamment les meilleurs restos, les meilleurs magasins, les meilleurs musées.

Le Moma, The Museum of Modern Art, par exemple.
Oui, les Rothko et Miro sont superbes.

Mais ce qui était vraiment fameux, c'est la performance de l'artiste thaïlandais Rirkrit Tiravanija : un délicieux curry vert offert aux visiteurs tous les jours entre 12h et 15h. 


Et ceux-là mêmes qui étaient venus voir une exposition deviennent en s'asseyant et en mangeant au milieu d'une galerie, participants de l'oeuvre d'art. 
J'aime.


Et puis, chance de chance, le soleil s'est pointé tous les jours et a chauffé entre 12 et 15 C. Se promener en pull au mois de décembre en plein NY, ça a fait un bien fou. D'autant que le mercure laissé à Montréal affichait -15 C.

Et par ce beau temps, où se promener sur cette immense île qu'est Manhattan ? 

Pour être original, délaissez Central Park, so 2011, et aller vous balader sur la Coulée Verte new-yorkaise, la High Line, ancienne ligne de chemin de fer réhabilitée en promenade plantée.
Comme son alter ego parisien, cet aménagement végétal donne un oeil neuf sur la ville et offre une pause de jungle urbaine.






Par contre, il y a quand même quelque chose que je n'ai pas bien compris en observant la faune citadine féminine. Soit disant NY est la ville du shopping, du style et du glamour.

Mais alors. 

Pourquoi toutes, mais alors toutes les New-yorkaises portent des bottes UGG. Oui, des UGG (prononcez eugue), ces bottines en peau, fourrées et beiges le plus souvent et qui coûtent un bras au passage. Oh moi ça me dérange pas plus que ça. C'est juste que quand le moitié de la ville se promène en chaussons en pleine rue, le glamour en prend un coup.


Alors c'est sûr les buildings, ils ont la classe. Y'en a pas deux pareils. Et toujours plus hauts, plus brillants, plus imposants. On a beau les connaître par coeur, tellement on les as vus et revus au cinéma, ils restent fascinants...





New York va certainement me revoir dans les prochains mois, c'est certain.
Excellente année 2012 à tous, et une bonne santé avant tout.